Port (rue du)

Nom de la rue

Cette rue permettait d’accéder au port, d’où son nom.

Caractéristiques de la rue

Ce nom a été donné à la rue par la municipalité en 1955. Auparavant on l’appelait déjà rue du port ou rue de la cale. Elle va du carrefour avec les rues François Péron et Lucien le Lay jusqu’au port. C’est une rue très courte, elle ne fait que 180 m et est plutôt plate. Son point culminant se situe à l’est du corps de garde, à 4,75 m. Elle est orientée approximativement est-ouest avant de virer vers le sud dans ses derniers mètres.

Histoire

Avant le développement du port vers 1870, cette voie n’existait pas vraiment, il y avait peut-être tout au plus un petit sentier qui reliait l’actuelle rue Lucien Larnicol au corps de garde et à la cale.

La rue actuelle a été réalisée entre 1888 et 1894. C’est une prolongation du « Chemin de grande communication n°53 de Saint-Guénolé à Loctudy » qui s’arrêtait au carrefour des rues Lucien Larnicol et Lucien le Lay en 1888.

Dans un premier temps cette nouvelle voie ne va pas connaître un grand succès : deux bâtiments seulement sortiront de terre au 19e siècle : l’usine Tirot et la boulangerie Auffret, tous deux dans les années 1880.

C’est pendant le premier quart du 20e siècle que les constructions vont se succéder, lui donnant presque sa configuration actuelle.

Activités : commerce, artisanat, industrie, loisirs (des origines à 1980)

Bien que très courte, la rue du port connaîtra une activité économique intense liée à la proximité du port : transports, vente de poisson, marée, conserverie… Des commerces s’y installeront surtout à partir des années trente, dont une majorité de bistrots.

Côté nord de la rue

n°10

Auffret [ ca 1884 – années 1930>]

Marie Louise Stéphan (1857-après 1919), épouse (1876) de Louis Auffret (1850-1911)

Louis Auffret, photo de Charles Géniaux (1911)

Puis

Marie Péres (1883-1915), épouse (1911) d’Eugène Auffret  (1883-1934)(fils des précédents)

Puis

Désirée Kerloch (1887-après 1936), seconde épouse (1919) d’Eugène Auffret.

Dans leur maison construite en 1884, Marie Louise Stéphan et Louis Auffret ouvrirent une boulangerie débit de boisson. Le commerce faisait aussi épicerie, mercerie, vente d’articles de pêche, de pièces de cotonnades, de draps…

« Bretonne portant du pain » de Robert Delaunay (ca 1903-1905). En arrière-plan on distingue la boulangerie Auffret.

Louis Auffret était marin et patron emblématique du canot de sauvetage. Son fils Eugène, après avoir été ajusteur dans la marine fut également marin pêcheur, il commanda le « Marguerite Anna« , premier bateau de plus de 10 tonneaux du port.

Parmi les nombreux boulangers qui ont été employés dans ce commerce, j’ai retrouvé les noms suivants : Abraham Perduis en 1886, Alain Cloarec en 1891, Louis Guichaoua en 1901 Pierre le Pape en 1901, Hervé Kervévan en 1911, Rolland le Donge en 1921, Jean Biger en 1926.

Le magasin fut gravement endommagé lors du raz de marée de 1904. Voici la déclaration de pertes de Louis Auffret :

« le raz de marée du 2 février a envahi mon magasin, 15 culasses de farine, 12 rouleaux de cordages, des pièces de cotonnade et de drap sont complètement perdus, ainsi que du liège, de l’épicerie et du cachou. J’éprouve une perte de 1780 francs. » (1)

Le raz de marée de 1924 fut encore plus terrible pour ce commerce, on évalua les pertes à 10 000 F.(2)

En 1938, Désirée Kerloch vendit son commerce à Emile Raphalen.

Puis au n°10

Carte postale, éditeur non identifié

Raphalen  [1938 – après 1980] « Bar du port »

Marie Kersalez (1913-2000) x (1938) Emile Raphalen (1910-1963)

Le commerce fut repris par les Raphalen grâce à l’aide de Corentin Kersalez, le père de Marie, qui était commerçant à Tréguennec. Ce dernier fit même venir un boulanger de Tréguennec. Mais la boulangerie fut rapidement abandonnée en raison de la forte concurrence dans le quartier. Seul demeura le débit de boisson qui fut baptisé « Bar du port », mais qu’on appelait plus familièrement « chez Marie Emile ».

Marie Kersalez tenait le commerce, Emile Raphalen était mareyeur, son magasin de marée se trouvait derrière le bar. Pour l’anecdote, il achetait et revendait aussi des gobies, des anguilles pêchées dans le port, etc… et même des escargots !

n°24

Drézen [années 1920 – ca 1960] « Café de la criée »

Corentin Drézen (1898-1950) époux (1922) d’Eugénie Guénolé, dite Génie (1902-2005)

Corentin Drézen était boulanger, c’était le fils d’un couple de commerçants du bourg de Penmarc’h. Génie Guénolé était la soeur de Jean Guénolé, grossiste en boissons, installé juste à côté, rue François Péron. Le bâtiment actuel date des années 1930, il a remplacé la petite maison qui avait été construite pour Louis Auffret et qui était accolée à son commerce.

Au centre de la photo, on distingue la petite maison blanche qui a été détruite pour bâtir le « Café de la criée ». Détail d’une carte postale antérieure à 1910.

D’abord débit de boisson et boulangerie puis, probablement après le décès de Corentin Drézen, débit de boisson seulement. Il s’appelait le « Café de la criée » (la vente de poisson se faisait juste devant à l’époque), mais était surtout connu sous le nom de « Chez Génie ». Il disposait déjà du téléphone avant la deuxième guerre.

Génie Guénolé et Corentin Drézen. Détail d’une photo du Télégramme, avril 1949.

puis au n°24

Gloaguen[ca 1960 – années 1970>] « Bar du centre »

Lucien Gloaguen (1934-2015) x Alice Ramirez

Ils prirent la suite de Génie Guénolé, dont ils étaient locataires. Lucien Gloaguen était le frère de Donatien, dit « Dodone ». Ils changèrent le nom du commerce, car la criée s’était déplacée et l’appellation n’était plus d’actualité, ils l’appelèrent « Bar du Centre ».

Le « Bar du Centre », détail d’une carte postale.

Puis, toujours au n°24

Le Tirilly [1976 – après 1980]

Claude le Tirilly et Jean Branchet

Le Télégramme du 3 avril 1976

Masseurs kinésithérapeutes.

Longtemps rue Jean Jaurès, ils s’installèrent en mai 1976 dans l’ancien bar Drézen.

n° 36

Buvette de la pointe [années 1940 ?]

Durant la guerre il y avait un débit de boisson au rez de chaussée de cette maison, mais j’ignore tout de ce commerce. Seul témoignage, cette photo d’un concert donné par une fanfare militaire allemande trouvée sur le site Delcampe sur laquelle on distingue l’enseigne « Buvette de la pointe ».

Entre le n°36 et le n°136

Usine Tirot [1883-1961]

Voir l’article Tirot (conserverie)

Quelques commerçants et artisans exercèrent leur activité dans le périmètre de l’usine :

Gloaguen[années 1940]

Donatien Gloaguen (1923-2017)

Installé comme pâtissier dans une baraque en bois, il partira à la fin des années quarante pour la rue Lucien le Lay, avant d’acheter l’Hôtel de la mer en 1950.

Cosquer [fin des années 1940 – début des années 1950]

Louis Cosquer (1911-2004)

Louis Cosquer commença son activité de peintre en octobre 1935, mais je n’ai pas trouvé où. Il occupa l’ancienne baraque de Donatien Gloaguen à la fin des années 1940, avant d’aller rue François Péron vers 1953.

Puis entre le n° 36 et le n°136

Après la fermeture de l’usine Tirot, Jean Louis Stéphan dit « ar Maillard » racheta une partie de la friche industrielle. Plusieurs artisans et commerçants seront ses locataires dans les années 1960-1970.

Carré [années 1960- 1970]

Carré, Théo

Electricité de marine, radio. Marque « Radio océan ».

Il se trouvait à droite à l’entrée de l’ancienne usine Tirot. Il s’est ensuite installé rue Hyacinthe Moguérou.

Autret [années 1970>]

Bruno Autret.

Peintre.

Le Brun [années 1970>]

Bernard le Brun

Garagiste. Avant de s’installer rue de la Joie, Bernard le Brun commença son activité dans l’ancienne usine Tirot.

n°72

Volant [années 1960]

Volant, Maurice (1939-2007)

Coiffeur. Auparavant il aurait été installé rue de la Joie.

Puis au n°72

Le Coz [années 1970 – après 1980]

Robert le Coz (1926-2020), puis son fils Michel le Coz.

Coiffeur. Auparavant rue Pierre Semard.

Vestige de l’ancien salon de coiffure

n°98

Sénéchal [1961-années 1970] « Le Triskell »

Jean Sénéchal (1910-1984) époux (1938) d’Andréa Seznec (1913-1980)

Bar, crêperie, fruits de mer. Ce fut une crêperie innovante, la première de la région à servir des crêpes flambées.

Jean Sénéchal était douanier et son épouse institutrice. Ils devinrent directeur et contremaîtresse de l’usine Tirot en 1947 et achetèrent la maison de direction à la fermeture de l’usine en 1961, ils la transformèrent en crêperie bar.

Puis au n°98

Le Dréau [années 1970 – après 1980] « Le Triskell »

Annick Le Dréau (1940-2014)

Annick Le Dréau reprit le Triskell, probablement après le départ en retraite d’Andréa Sénéchal en 1974.

Publicité de 1975

n°136

Bideau [septembre 1923-1952]

Louis Bideau (1888-1952) et son épouse (1919) Anna Kerfriden (1885-….)

Louis Bideau et Anna Kerfriden étaient mareyeurs. Ils fondèrent la société Bideau-Raphalen (Raphalen était le nom du premier époux d’Anna Kerfriden, dont elle eut deux enfants). En dehors du mareyage, ils vendaient de la rogue, des tourteaux d’arachide et aussi de l’essence et du gasoil pour les bateaux. En 1930 la société possédait un camion et une camionnette Renault.

En-tête datant de 1944 (3)

La fille d’Anna Kerfriden, Marie Corentine, dite Titine Raphalen, épouse Perron, devint gérante de la société en 1946.

En 1952 la société fut dissolue et partagée entre les deux enfants Raphalen : Emile, qui poursuivit son activité rue des Embruns et Titine.

Perron [1952 – après 1980]

Marie Corentine Raphalen (1906-1957) épouse (1931) de Michel Perron (1904-1978)

Titine Raphalen était mareyeuse et Michel Perron ancien colonel dans l’aviation. Elle hérita de la partie est du magasin de marée de ses parents.

Puis Michel Perron fils (1932-1982) époux (1956) de Marie-Thérèse Tanneau (1932-….)

Egalement au n°136

Furic [<années 1970>]

Alain Furic, mareyeur au Guilvinec, disposait d’une petite bâtisse dans la cour de Michel Perron.

n°146

Mavic [1953 – après 1980]

Jean Mavic (1926-2001), époux de Geneviève Kerfriden (1930-2018)

Jean Mavic était mareyeur et grossiste en boissons.

Au sud du n°146

Corps de garde

Voir l’article Corps de garde.

n°1 rue des Embruns

Cette maison est aujourd’hui rue des Embruns, mais elle ouvrait autrefois sur la rue du Port.

Le Drézen [1920-1962]

Marie Louise Kerfriden (1897-1962) épouse (1918) de Dominique Le Drézen (1890-….)

Marie Louise dite « Tante Lo » était mareyeuse, c’était la sœur de Vincent Kerfriden qui habitait la maison mitoyenne au n°174. Dominique Le Drézen fut d’abord marin de l’Etat, puis patron pêcheur. Il commanda en particulier le « Monique et Alexis ».

Le magasin subit des dégâts lors des inondations de 1924 et 1925. Il était équipé d’un téléphone dès les années vingt. La maison actuelle fut construite à la fin des années vingt, après démolition d’un bâtiment plus ancien. Après la guerre, Marie Louise Kerfriden créa un autre magasin au n°238 rue Lucien Larnicol. En 1949 le commerce devient la SARL « Le Drézen – Kerfriden et fils ». Le magasin possédait une chambre froide.

Puis au n°1 rue des Embruns.

Plouhinec [ca années 1960 – années 1970 ?]

Michèle Calvez dite Mimi Calvez (1936-….) épouse d’Albert Plouhinec (1934-1998).

Michèle Calvez était une des filles de  « Marie Rouz » (voir n° 188 rue Lucien Larnicol). Albert Plouhinec était menuisier et ponceur. Ils étaient locataires des précédents.

n°174

Kerfriden [années 1910 – après 1980>]

Jean Kerfriden (1859-1932) époux (1880) de Marie Pochat (1861-1926)

Jean Kerfriden fut d’abord agriculteur, puis soudeur, puis marin. Il sera le premier, vers 1900, à construire à proximité immédiate du port. Il fit bâtir deux maisons adossées l’une à l’autre. Le couple eut sept enfants qui devinrent presque tous commerçants à Saint-Guénolé.

Sur cette photo de Francis Hennequin prise en 1902, on voit à l’arrière plan les deux pignons blancs des maisons Kerfriden.

Dans la maison la plus au sud (n°174) Jean Kerfriden et Marie Pochat créèrent une salle de danse vers 1912, Ils ouvrirent également un débit qui devint le « Bar des bélugas ».

Le Bar des bélugas. Dessin inédit de Jean-Julien Lemordant

puis

Marie Stéphan (1901-1986) épouse (1919) de Vincent Kerfriden (1890-1949)

Vincent Kerfriden était le fils des précédents. Patron pêcheur, il commanda en particulier le « Saint-Vincent » et le « Mathilde ». Marie Stéphan s’occupait du bar qui faisait aussi épicerie. C’était la fille du boucher Pierre Jean Stéphan (1873-1908) et la demi-sœur d’Eugènie Stéphan, l’épouse du menuisier et marchand de meuble Alain Tirilly (voir n°121 rue Lucien Larnicol). La salle de danse était tenue en copropriété jusqu’à la guerre par Vincent et sa sœur Marie Louise, épouse Le Drézen, elle était appelée « Salle Kerfriden » ou « Salon Kerfriden » ou encore, plus familièrement, « chez Vich » (Vich étant un diminutif de Vincent). C’était aussi, à l’occasion, une salle de réunion.

Puis

Mathilde Kerfriden (1921-2011) épouse (1957) d’Eugène Savina (1923-1998)

Mathilde Kerfriden, dite « Mathilde Vich » était la fille des précédents, elle tenait le bar et la salle de danse. Eugène Savina était patron pêcheur (« La Chaumière du pêcheur« , puis « Bibelot« ).

Intérieur du « Bar des bélugas », Ouest France du 31 janvier 1969

Côté sud de la rue

Placette face aux n°10, 24 et 36

Sur cette placette se trouvait une criée entre 1931 et 1956 et un petit chantier naval entre 1910 et 1944. Avant la création de la place Auguste Dupouy, on y trouvait aussi parfois deux ou trois boutiques lors du marché du vendredi, et même des manèges au moment de la fête des thoniers. Cette petite place était aussi le terrain de jeu des joueurs de galoche.

n°109

Stéphan [1925-1955]

Isidore Stéphan (1888-1955) époux (1919) de Marie Noëlle le Pape (1890-1987)

Isidore Stéphan fut d’abord marin de l’Etat, avant de s’installer comme mareyeur (Société Stéphan – Le Pape). La maison et le magasin, construits vers 1925, étaient dotés dès le départ d’un téléphone. Mais le magasin ne possédait pas de chambre froide.

Après le décès d’Isidore Stéphan, le magasin aurait été loué quelques temps à Louis Gourlaouen (voir n°289 rue de la Joie).

Isidore Stéphan et Marie Noëlle le Pape étaient les parents de Suzanne Stéphan, épouse Kerouédan (voir n° 133 Rue Michel le Gars).

n°127

Kerfriden [1925 – après 1980]

Corentine Jégou (1906-1985) épouse (1924) de Corentin Kerfriden (1900-1960)

Débit de boisson. Officiellement appelé « O.20.100.O», il était familièrement nommé « Chez Titine »

Titine au comptoir avec un client (Pierre Biger). Photo de 1985, parue dans Mouez Penmarc’h n°36.

Corentin Kerfriden était patron pêcheur, il commanda le « Titine », « l’Espérance » et le « Liberté ». C’était le fils cadet de Jean et Marie Pochat (voir n°174). Leur fille Geneviève était l’épouse de Jean Mavic (voir n°146) et l’épouse de leur fils Vincent était également commerçante au n°28 rue Michel le Gars.

n°165

Jacob [juin 1912-années 1940]

Jacob, Corentin (1874-1941) époux (1899) de Jeanne Kerfriden (1882-1942)

Mareyeur, débit de boisson, épicerie.

Né à Plomeur, Corentin Jacob fut d’abord soudeur, il travaillait à l’usine Amieux. Jeanne Kerfriden était la fille aînée de Jean Kerfriden et Marie Pochat (voir n°174).

La maison fut bâtie dans les années 1900 (4) sur un terrain qui appartenait auparavant à Henri-Emile Le Corre, mareyeur au Guilvinec. Ce dernier avait fait construire un magasin de marée à Saint-Guénolé dès 1883, mais j’ignore où exactement. En tout cas, Corentin Jacob le rachètera vers 1912 pour se lancer dans le mareyage.

Le commerce possédait le téléphone dès les années 1920 et disposait d’une camionnette Fiat. Le magasin avait aussi une chambre froide. Comme tous les commerces du bord de mer, il subit des dégâts lors du raz de marée de février 1924. En décembre 1939 Corentin Jacob ferma le débit épicerie pour se consacrer uniquement à son activité de mareyeur.

Leur fils Gabriel était également mareyeur. Il travaillait avec ses parents jusqu’à son mariage en 1932. Il s’installa alors à Loctudy d’où était originaire son épouse. Il revint un temps travailler à Saint-Guénolé, de septembre 1936 à janvier 1938, mais comme marchand de vin et spiritueux en gros et non comme mareyeur.

Après le décès de Jeanne Kerfriden en 1942, ses fils Eugène (1902-1993) et Gabriel (1906-1984), tous deux mareyeurs, l’un rue Lucien le Lay, l’autre à Loctudy, s’associèrent sous le nom « Jacob frères » en janvier 1943, mais la société fut dissoute dès septembre 1943.

La maison, emblématique du port de Saint-Guénolé jusqu’aux années 1970, figure sur de nombreuses cartes postales. La fenêtre du pignon à l’étage offrait une vue magnifique sur les bateaux et sur la pointe de Penmarc’h jusqu’aux phares, le peintre Jean Bazaine venait souvent peindre à cet endroit.

La maison Jacob à droite et le « Bar des bélugas » à gauche. Carte postale Rivière et Bureau n°3204.

(1) Archives départementales du Finistère, 1 M 502

(2) Archives départementales du Finistère, 65 E Dépôt

(3) Archives départementales du Finistère, 172 WP 107 2

(4) Elle n’apparaît pas sur les photos d’Hennequin qui datent de 1902, en revanche on la voit sur une photo de Paul Dopff en 1909.

Cette histoire des commerces de la rue du Port a été conçue grâce à de nombreuses sources :

  • les archives départementales : recensements, registres du commerce (séries 1631 W et U Supplément), cadastre, état-civil…
  • les archives municipales de Penmarc’h : registres de délibérations du conseil municipal
  • la presse locale
  • les souvenirs de quelques « anciens », en particulier Joël Stéphan, Martine Kerouédan, Jean Loch, Marie-Thérèse Cadiou, et quelques autres que je remercie encore vivement.
  • le Centre généalogique du Finistère https://cgf.bzh/
  • Cette histoire est encore incomplète et comporte sans doute quelques erreurs, j’en suis bien conscient, mais je continue à explorer les archives pour l’améliorer et je compte aussi sur les commentaires des lecteurs pour l’enrichir. D’autre part je suis toujours à la recherche de photos ou de documents sur les commerçants et les magasins.

NB : les petites photos placées sous les numéros de rue proviennent de Google street view.

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