Venceslas Kamil Rechniewski, était le fils d’un ingénieur des chemins de fer de Russie qui contribua à la réalisation du transsibérien. Lui même ingénieur, il découvrit Saint-Guénolé en 1892 lors d’une promenade à bicyclette en compagnie de son épouse Caroline Marie Antoinette Penel qui était calculatrice au Bureau International des Poids et Mesures (BIPM)
En novembre 1910 ils demandèrent à l’entrepreneur Alain Péron de leur construire une maison. Pour ce faire ils achetèrent trois parcelles de landes près de la pointe de Pors Carn. A partir de Pâques 1912 ils purent disposer de la demeure, qu’ils appelèrent « Ker Rech ».
Leur fils Robert épousa en deuxième noces Marguerite, une des filles de son patron Jules Niclausse. C’est lui qui fit découvrir Saint-Guénolé à la famille Niclausse et qui fut à l’origine de leur installation à Pors Carn.
Thierry, un des fils de Robert, hérita de la villa. Il la revendit en 1995 (1).
(1) Pour en savoir plus : Le Guen, Gilles .- Penmarc’h… t2, pp 159-160
Il faudrait que vous rectifiez les très nombreuses erreurs de ce texte :
Mon grand-père s’appelait Venceslas (pas de W) Kamil (et non Camille) Rechniewski (il n’y a pas de « de ». Il était ingénieur spécialisé dans l’électricité (moteurs électriques, transport de l’électricité). Mon arrière grand père était un ingénieur polonais qui a participé à la construction et amélioration du réseau de chemin de fer russe notamment la ligne Moscou-Nijni-Novgorod. Ma grand-mère s’appelait Caroline Marie Antoinette PENEL et non Pénel et a connu mon grand-père en tant que calculatrice au Bureau International des Poids et Mesures (BIPM) situé comme chacun sait au pavillon de Breteuil dans le parc de Saint Cloud (et non pas chercheur à l’observatoire de Meudon !!!
En novembre 1910 Mon grand-père a demandé à M. Alain Péron entrepreneur menuisier demeurant à Saint Guénolé de lui construire une maison qui sera dénommée Ker Rech au lieu dit Beg ar Pont sur un terrain appartenant au susdit Péron. La maison a été terminée et occupée pour Pâques 1912.
Mon père (Robert Rechniewski) épousa en 1921 non pas la fille mais une des filles (Marguerite) de Jules Niclausse fondateur avec son frère Albert de l’entreprise Niclausse spécialisé dans la construction de chaudières à tubes d’eau notamment montés dans les navires de la marine nationale.
Il épousa ensuite après divorce ma mère en 1940, mais c’est une autre histoire.
J’ai effectivement après le décès de ma mère vendu la maison en 1995 à un allemand qui l’a revendu 20 ans après.
Je vous prie donc de bien vouloir rectifier votre article.
Je pense qu’il est vraiment sans intérêt pour les lecteur d’indiquer que mon père s’est marié trois fois… et ni qu’il est été polytechnicien…
Je vous prie de bien noter qu’il ne faut pas mettre « de » devant RECHNIEWSKI
Bonjour
J’ai revu mon texte en tenant compte de vos observations. Ma source principale pour cet article était le livre de Gilles Le Guen, qui pourtant est très bien documenté en général.
Cordialement
C. Cadiou