En 1911, Daniel Trévidic et son épouse achetèrent un terrain donnant sur le fond de l’anse du Viben, sur lequel ils firent construire une petite maison basse.
En 1920, la veuve de Daniel Trévidic loua la maison au peintre Jean-Julien Lemordant qui habitait alors Paris, et qui voulait retrouver un point de chute à Saint-Guénolé où il avait vécu et peint avant guerre.
Au printemps 1922 le peintre acheta la maison. Il en fit une résidence d’été toute simple, voire austère, à laquelle il resta fidèle pendant 45 ans (1).
(1) Pour en savoir plus : Le Guen, Gilles .- Penmarc’h… t2, p. 153