Ce patronyme ce traduit par « (le) court ». Il est très répandu en Pays bigouden et dans le Cap Sizun, mais relativement rare dans la commune de Penmarc’h.
Pourtant on trouve des (le) Berre à Saint-Guénolé dans les premiers registres de baptèmes, mariages et sépultures dès la fin du XVIIe, il s’agit de Pierre, époux de Marie Garrec. En 1709, un Pierre Le Berre de Saint-Guénolé est enregistré comme marin sur la barque de Louis Le Gal de Saint-Pierre, c’est très probablement le même. Le couple a des enfants, un d’eux est encore à Saint-Guénolé en 1729, après on perd sa trace.
D’autres Le Berre apparaissent sporadiquement au XVIIIe, sans lien familial établi avec les premiers.
Au XIXe on trouve à nouveau un Le Berre à Saint-Guénolé, il s’agit de Pierre, maçon né à Saint-Jean. Il épouse Marie le Bec, domiciliée à Penmarc’h et s’installe à Kervédal.